Dominique Fernandez avait cité à plusieurs reprises Gide dans son discours de réception à l'Académie Française en 2007, estimant notamment que « le meilleur Gide, [est] celui qui a pris la défense de l’homosexualité, critiqué les abus du colonialisme, percé à jour l’imposture stalinienne.
Dans le Nouvel Observateur, Dominique Fernandez défend cette « oeuvre pionnière » qu'est pour lui Corydon, souligne l'aspect précurseur de Paludes et admire le style gidien – « Des phrases admirables, parmi les plus belles jamais écrites en français, des modèles d'écriture. »
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